Lifestyle

Les 3 bonnes nouvelles de la semaine #13 by Mathilde

Le retour des Talibans en Afghanistan, le tremblement de terre en Haïti, les feux de forêts, la pandémie qui n’en finit plus… Pas facile de garder le moral avec ce déferlement de mauvaises nouvelles.

Mais pour vous redonner le sourire, CmG a écumé le net à la recherche de bonnes nouvelles pour vous montrer que tout n’est pas noir.

Du plastique à la vanille, il n’y a qu’une enzyme !

Des bouteilles en plastiques vont être utilisées pour produire de l’arôme de vanille. Incroyable mais vrai, des chercheurs écossais ont réussi à créer des enzymes pour décomposer le plastique en acide téréphtalique, puis en vanilline à l’aide de bactéries modifiées. Les bouteilles en plastique étant une source de pollution importante et l’arôme de vanille étant une matière très utilisée dans l’agro-alimentaire et les cosmétiques, il s’agit d’une découverte qui pourrait faire le plus grand bien à notre planète. (source)

 

Les bandicoots sauvés de l’extinction

Vous connaissez sûrement le célèbre jeu vidéo Crash Bandicoot, mais savez-vous que les bandicoots existent vraiment ? Il s’agit en effet d’un petit marsupial australien qui vient d’être réintroduit dans un parc national après 100 ans d’extinction. Cette opération a été menée dans le cadre d’un grand projet de protection d’espèces menacées. Si vous souhaitez en savoir plus sur cette espèce tout à fait adorable, regardez cette vidéo de la chaîne YouTube Animalogic. (source)

 

Il reste encore des gens honnêtes

Une belle histoire s’est déroulée à Neuchâtel le 4 août. Un homme a trouvé 4400 francs dans la rue et s’est empressé de les remettre à la police. La somme a ainsi pu être rendue à son propriétaire qui avait économisé pour partir en vacances. En guise de récompense, le héros du jour a demandé au futur vacancier de lui rapporter un petit souvenir de sa destination. La grande classe ! (source)

 

Bonus : Le street art sud-africain s’invite à Genève

Si vous fréquentez régulièrement la jonction, vous avez peut-être remarqué qu’une nouvelle œuvre de street-art orne désormais un immeuble du quai Ernest-Ansermet. Il s’agit d’une fresque géante réalisée par l’artiste sud-africaine Karabo Poppy Moletsane. Véritable pointure de l’art de rue, Karabo Poppy a déjà collaboré avec Nike et a été citée parmi les 30 personnes de moins de 30 ans les plus influentes par le magazine Forbes. Une œuvre gigantesque et unique à aller admirer de toute urgence. (source)

 

Image par Danielle Shaw sur Pixabay 

Mathilde M. – Reporter pour Color my Geneva, tous droits réservés.

À lire aussi