Selon le député PS Youniss Mussa, après plusieurs mois de fermeture, « le monde de la nuit est en train de mourir ». Maintenant il est nécessaire d’intervenir pour le soutenir et éviter des licenciements aussi des postes de travail indirects comme les producteurs de boisson ou les taxis.
L’État de Genève, qui a prolongé la fermeture au 16 novembre 2020, est enfin intervenu jeudi soir et a voté une aide d’urgence plafonnée à 2 millions de francs par mois maximum pour l’ensemble du secteur. Grâce à l’accord signé par le Grand Conseil de la nuit, le Syndicat culture nocturne et la Société des cafetiers, restaurateurs et hôteliers de Genève, l’indemnité moyenne se situera entre 30’000 et 40’000 francs par établissement.
En échange de cette aide financière, le monde de la nuit ne licenciera pas, à cause de la crise actuelle, les milliers de personnes qui font partie du personnel. C’est une petite bataille gagnée pour la culture nocturne et les discothèques à Genève.
Pour plus d’infos : RTS / Le Matin.ch
Erika M. – Journaliste/Collaboratrice pour Color My Geneva, tous droits réservés